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Devenir sophrologue à 50 ans, c’est possible !

A l’approche de vos 50 ans ou à 50 ans passés, la sophrologie vous fait de l’œil et vous envisagez une reconversion dans ce domaine ? Il est possible que beaucoup de questionnements vous envahissent et nous sommes là pour y répondre et vous permettre d’avancer en ayant toutes les cartes en mains. Une reconversion, quels que soient l’âge et la profession pratiquée, est un challenge. Nous ne sommes pas ...

13 min. de lecture

publié le

par Elodie G.

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A l’approche de vos 50 ans ou à 50 ans passés, la sophrologie vous fait de l’œil et vous envisagez une reconversion dans ce domaine ? Il est possible que beaucoup de questionnements vous envahissent et nous sommes là pour y répondre et vous permettre d’avancer en ayant toutes les cartes en mains. Une reconversion, quels que soient l’âge et la profession pratiquée, est un challenge. Nous ne sommes pas là pour nier les potentielles difficultés, ni pour vous effrayer outre mesure. Rien n’est insurmontable avec de l’investissement. Partons à la découverte de ces fameux défis, des croyances limitantes mais aussi de ce qui pourra vous aider à devenir sophrologue à 50 ans.


Est-ce une bonne idée de devenir sophrologue en reconversion à 50 ans ?

Devenir sophrologue après 50 ans peut présenter des défis particuliers, mais en réalité, comme toute reconversion professionnelle. En voici quelques uns :

  • Discrimination liée à l’âge : Dans certains domaines et notamment dans le salariat, peut demeurer une discrimination liée à l’âge. Celle-ci est bien moins présente, voire inexistante fort heureusement, en étant à votre compte et dans les professions du bien-être.

L’âge peut même être un atout, gage de sagesse et de professionnalisme. Sachez mettre en avant votre histoire et votre expérience personnelles.

  • Freins personnels : Que vous ayez 30 ou 55 ans, vous pouvez ressentir des peurs qui vous empêchent d’avancer. Celles-ci sont ancrées, parfois liées à votre histoire personnelle voire cellulaire. L’insécurité financière, la peur de l’échec, la peur de se tromper, la peur de réussir même, la peur aussi de devoir se mettre en avant. 

Rassurez-vous, ces freins peuvent être présents à tout âge. La plupart des personnes en reconversion passent par là et cela ne les empêche pas de connaître la réussite.

L’idéal est de faire un travail personnel, accompagné ou non, afin de se libérer de ces chaînes et concrétiser votre projet professionnel.

  • Retour à l’apprentissage : Suis-je trop âgé pour apprendre ? Serai je capable de retourner sur les « bancs de l’école » ? Certes, il arrive que la mémoire soit moins bonne avec les années. Il n’empêche que les bonnes formations en sophrologie sauront adapter leur pédagogie à tous les publics. La mémoire se travaille, c’est un défi à relever mais rien d’insurmontable.
  • Lacunes sur les outils digitaux : Pour devenir sophrologue, il vous faudra certainement mettre en place une communication digitale. De façon générale, votre génération est moins présente sur les réseaux sociaux, notamment les plateformes comme Instagram, Youtube ou bien parfois Discord. C’est un challenge ! Certes le digital n’est pas une fin en soi, mais il reste tout de même un outil important de prospection et de visibilité.

De nombreuses formations au digital existent pour combler vos failles. Parfois même, elles sont financées par Pôle Emploi si vous êtes inscrits en tant que demandeur d’emploi. Vous verrez à quel point une reconversion peut être enrichissante à tous niveaux.

  • Manque de légitimité et syndrome de l’imposteur : Lorsqu’on lance son activité de sophrologue, il faut parfois se heurter à des craintes et particulièrement, la peur de manquer de légitimité pour accompagner des personnes. Cette peur est suivie aussi souvent du syndrome de l’imposteur une fois l’activité démarrée. Autrement dit, vous pouvez ne pas vous sentir suffisamment compétent ou expérimenté pour exercer la profession de sophrologue. Ce sont majoritairement les femmes qui souffrent de ce syndrome de l’imposteur.

Ces peurs peuvent être plus profondes après 50 ans si vous êtes peu sortis de votre zone de confort professionnellement. Mais à nouveau finalement, elles ne sont pas liées à l’âge, puisqu’elles touchent différentes générations. Et surtout, beaucoup d’entrepreneurs y passent !

Malgré les défis et les peurs, de nombreuses personnes ont réussi avec succès à faire leur transition professionnelle à un âge plus avancé. Ce n’est pas impossible, bien au contraire.


Les atouts pour devenir sophrologue après 50 ans !

La décision de devenir sophrologue en reconversion à l’âge de 50 ans dépend de divers facteurs, particulièrement votre motivation personnelle et votre intérêt pour la sophrologie, mais aussi vos compétences et votre situation financière.

  • Aimez votre métier de sophrologue ! En effet, une reconversion réussie est souvent alimentée par l’envie et la passion pour le nouveau domaine. Assurez vous que votre choix corresponde réellement à vos intérêts et aspirations.
  • Valorisez vous. Votre expérience professionnelle antérieure peut être un atout dans votre reconversion en tant que sophrologue. Les compétences transférables que vous avez acquises tout au long de votre carrière peuvent vous être précieuses dans votre activité de sophrologue.
  • Soyez serein financièrement. Il est possible qu’avec une reconversion à 50 ans, cela soit votre dernière activité professionnelle avant la retraite. Et c’est plutôt une bonne nouvelle si vous êtes passionné de sophrologie et de bien-être. Certaines personnes souhaiteront devenir sophrologue qu’après avoir instauré une situation stable financièrement. D’autres, à l’inverse, attendront peut-être de cette nouvelle activité plus de revenus. Au final, l’essentiel est que VOUS vous sentiez en sécurité financière quelle que soit votre situation.


Comment se lancer en tant que sophrologue après 50 ans ?

Comme dans toute reconversion et quel que soit l’âge, il est nécessaire de préparer son terrain. Néanmoins, il est vrai qu’à 50 ans, on peut se poser davantage de questions. Il est important d’évaluer soigneusement vos objectifs, vos ressources et de prendre des décisions éclairées en fonction de votre situation personnelle. Voici quelques pistes :

  • Demandez des conseils auprès de professionnels : Consultez des consultants en carrière ou des coaches pour obtenir des conseils personnalisés sur votre parcours de reconversion.

Il peut être utile aussi de parler à des sophrologues en activité et de recueillir leurs conseils. Ils pourraient partager leurs expériences et vous donner une meilleure idée de ce à quoi vous pouvez vous attendre.

  • Formez-vous : Passage obligatoire, soyez prêt à investir du temps, de l’argent et des efforts pour apprendre la profession de sophrologue. Explorez les options de formation disponibles. Peut-être que certaines formations s’adaptent plus facilement à tous types de publics, ou bien à certaines contraintes de temps et d’espace. Recherchez des programmes de qualité et assurez vous qu’ils répondent aux normes professionnelles de la sophrologie.
  • Sécurisez vos finances : Pensez à considérer l’impact financier de la reconversion. Assurez vous que vous avez les moyens financiers de suivre la formation et de faire face à une période éventuelle de démarrage d’activité.
  • Essayez le réseautage : Le réseautage peut jouer un rôle crucial dans le succès d’une reconversion. Établissez des contacts dans le domaine du bien-être, voire au-delà, et participez à des événements ou des séminaires pour vous immerger dans la communauté. C’est une manière de se faire connaître et de démarrer le bouche à oreille.
  • Soyez flexible et ouvert d’esprit : Soyez prêt à vous adapter et à apprendre de nouvelles compétences. La flexibilité est souvent essentielle lorsqu’on entreprend une reconversion à un âge plus avancé. Être ouvert à de nouvelles idées, s’adapter aux nouvelles tendances peut faciliter la transition vers un nouveau domaine.

Par exemple, comme mentionné plus haut, le digital est un excellent moyen de prospecter et de se faire connaître (d’autres préfèreront le réseautage, mais les deux peuvent être complémentaires). S’y intéresser ou s’y former sera peut-être nécessaire.

Rome ne s’est pas faite en un jour ! Devenir sophrologue après 50 ans demandera de l’investissement et de la persévérance, au même titre que tout lancement d’entreprise !


Comment savoir si on est fait pour être sophrologue ?

Le métier de sophrologue requiert un ensemble de compétences nécessaires, de traits de personnalité et de qualifications, indépendamment de l’âge. Si vous souhaitez devenir sophrologue à 50 ans, il est temps d’évaluer vos compétences et expériences antérieures. Certaines compétences développées tout au long de vos précédentes carrières, telles que la communication, l’empathie et la compréhension des besoins des autres, peuvent être importantes pour réussir en tant que sophrologue. Voici quelques caractéristiques importantes pour être un bon sophrologue :

  • Faire preuve d’empathie : La capacité à comprendre et à ressentir les émotions des autres est essentielle en sophrologie. L’empathie permet d’établir une connexion plus profonde avec les clients.
  • Démontrer une écoute active et une adaptabilité : Un bon sophrologue doit être capable d’écouter attentivement les préoccupations et les besoins de ses clients. L’écoute active contribue à établir une relation de confiance. Chaque client est unique, et un sophrologue doit être capable de s’adapter aux besoins individuels de chaque personne.
  • Communiquer efficacement : Une communication claire et précise est cruciale pour expliquer les techniques de sophrologie, guider les séances et échanger avec les clients sur leur expérience.
  • Avoir le sens de l’observation : Être capable de percevoir les réactions non verbales des clients, et de s’adapter en conséquence, est important pour personnaliser les séances de sophrologie.
  • Être patient et intègre. Les progrès des clients peuvent prendre du temps, et la patience est nécessaire pour accompagner chaque individu à son propre rythme. De plus, agir avec intégrité et honnêteté est essentiel pour établir une relation de confiance avec les clients.
  • Penser à l’éthique professionnelle et à la confidentialité : La sophrologie implique souvent des discussions sur des sujets personnels et sensibles. La capacité à respecter la confidentialité est essentielle pour établir un climat de confiance. Aussi, un bon sophrologue doit adhérer à des normes éthiques strictes, y compris le respect des codes de déontologie et la protection du bien-être des clients.


Peut-on vivre du métier de sophrologue ?

La possibilité de vivre de l’activité de sophrologue après 50 ans (ou avant d’ailleurs) dépend de plusieurs facteurs, notamment de la demande et de la concurrence dans votre secteur géographique, de votre choix éventuel de spécialisation (trouble, public, type de structure,…) ou encore de votre capacité à attirer des clients (via le réseau, la communication digitale ou encore le bouche à oreille). C’est pourquoi il est bon de se référer à tous les points précédents pour préparer ce terrain et s’assurer que votre profil corresponde bien au métier de sophrologue.

Est-ce qu’un sophrologue gagne bien sa vie ?

Difficile d’avoir une réponse claire et garantie à ce sujet. D’une part car peu de sophrologues y répondront assurément. D’autre part car cela dépend d’autres facteurs. En effet, les revenus d’un sophrologue varient en fonction de la région, du niveau d’expérience, de la clientèle, du type de services proposés et de la tarification. Il est important de noter que la sophrologie est la plupart du temps pratiquée de manière indépendante, ce qui signifie que les revenus dépendent en grande partie de la capacité du sophrologue à développer sa clientèle.

En général, les sophrologues débutants rencontrent des défis pour établir une clientèle et peuvent donc gagner moins que des praticiens plus expérimentés. C’est la phase de démarrage. Par ailleurs, certains sophrologues travaillent à temps partiel, tandis que d’autres exercent à temps plein.

Il vous sera recommandé, si vous souhaitez devenir sophrologue, de faire des recherches sur les tarifs pratiqués dans votre ville ou région, de prendre en compte vos compétences et expérience, et d’ajuster vos tarifs en conséquence.

Attention, ne vous bradez pas non plus, tout travail mérite salaire et ce ne serait pas dans votre intérêt de trop baisser vos tarifs !

Le saviez vous ?

Certains sophrologues choisissent également de diversifier leurs sources de revenus en proposant des ateliers, des formations ou des services en ligne. La création de partenariats avec des professionnels de la santé, des entreprises ou d’autres organisations peut également contribuer à augmenter les opportunités de revenus. Pensez-y !

Y a-t-il trop de sophrologues ?

Évidemment, c’est une question qu’il est bon de se poser pour une reconversion à 50 ans, qui peut sembler plus risqué (et encore une fois, tout est relatif).

Pour y répondre, explorez le marché du travail dans votre secteur pour les sophrologues. Il peut être utile de connaître la demande potentielle dans votre région. La demande peut varier en fonction de la localisation géographique, des besoins de la communauté et de la sensibilisation au bien-être.

Néanmoins, n’attendez pas que la demande soit au rendez-vous, créez-la ! Adoptez une approche entrepreneuriale de votre pratique de la sophrologie. Développez des compétences entrepreneuriales pour gérer votre entreprise, par exemple la gestion financière, la planification marketing, le mindset et la fidélisation de la clientèle.

Vous pouvez aussi tenir compte des tendances émergentes dans le domaine du bien-être et de la santé mentale. Le marché peut évoluer, et il peut être utile d’ajuster vos services en fonction des besoins changeants de la société.


Quelle est la meilleure formation pour devenir sophrologue ?

Faut-il un diplôme pour devenir sophrologue à 50 ans ?

Si vous envisagez de devenir sophrologue, cela peut être une excellente opportunité de reconversion. De nombreux professionnels de la sophrologie ont commencé leur carrière à un âge plus avancé. Cependant, il est important de s’assurer que la formation choisie réponde aux exigences du métier.

Mise en garde

La sophrologie n’est pas une profession réglementée par l’État, les formations ne délivreront donc pas de diplôme. Néanmoins, il existe des formations certifiées RNCP et des organismes de formation certifiés Qualiopi qui attestent de la qualité du programme et des enseignements.

Comment choisir ses études de sophrologie ?

Après lecture de cet article, l’idée est de savoir si vous souhaitez mener à terme votre projet de reconversion en tant que sophrologue. Car certains organismes proposent deux types de formation à la sophrologie :

Avec ces deux options qui s’offrent à vous, ainsi que nos précieux conseils, si la sophrologie vous passionne, il n’y a plus de raison de douter ! Foncez !

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