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Plantes de sorcières : entre bienfaits thérapeutiques et mythes

Plongez dans le monde mystérieux et fascinant des sorcières avec notre exploration des cinq plantes médicinales incontournables liées à ces figures légendaires. De l'angélique à la belladone en passant par la mandragore, ces plantes ont été utilisées au fil des siècles pour leurs propriétés magiques et leurs pouvoirs de protection. Mais qu'en est-il vraiment ? Que retenir de cet héritage précieux de la tradition des sorcières ?

16 min. de lecture

publié le

par Victoria

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Plongez dans le monde mystérieux et fascinant des sorcières avec notre exploration des cinq plantes médicinales incontournables liées à ces figures légendaires. De l’angélique à la belladone en passant par la mandragore, ces plantes ont été utilisées au fil des siècles pour leurs propriétés magiques et leurs pouvoirs de protection. Mais qu’en est-il vraiment ? Que retenir de cet héritage précieux de la tradition des sorcières ?


Quelles sont les plantes préférées des sorcières ?

Les sorcières n’utilisaient pas que des plantes rares et mystérieuses, elles se servaient aussi de plantes aromatiques, de plantes potagères, sauvages et plus classiques, comme le basilic romain ou encore la camomille. Avec ces plantes, elles préparaient des décoctions, des élixirs, des macérations, des infusions, des sirops et des philtres…


La Mandragore, ou « l’herbe aux magiciens »

La Mandragore, souvent associée à l’imaginaire des sorcières, est une plante herbacée vivace, originaire du pourtour méditerranéen et membre de la famille des Solanacées. Sa racine, représentative d’une forme humaine, est entourée de croyances et de légendes.

Pourquoi la Mandragore était utilisée ?

  • Elle était réputée pour ses vertus aphrodisiaques et pour soigner la stérilité.
  • Elle était utilisée en guise d’anti-inflammatoire, de sédatif et d’analgésique, mais également en cataplasme pour soulager les rhumatismes et l’arthrite.
  • Elle est aussi mortelle que la belladone.

Le secret pour voler sur un balai ?

Parmi ses composants, on compte environ 0,4% d’alcaloïdes (l’atropine, l’hyoscyamine et la scopolamine), qui la rendent toxique à fortes doses. Ces propriétés psychoactives auraient donné lieu à des croyances selon lesquelles la mandragore permettait aux sorcières de « planer ». Dans les comptes rendus des procès de sorcières et les légendes, on retrouve la Mandragore parmi les ingrédients des onguents et des boissons utilisés pour les voyages au sabbat ou pour induire des états de transe. Ses propriétés hallucinogènes et narcotiques étaient pleinement exploitées pour créer la sensation de voler lors des réunions avec le Diable. Bien que sa composition ne la classe pas comme la plante psychotrope la plus puissante, son effet anesthésique intense peut donner l’impression de la mort elle-même. La Mandragore est aussi utilisée comme talisman pour les sorts d’amour.

Histoire, contes et légendes autour de la Mandragore

Selon la légende, Hannibal aurait employé une stratégie inattendue pour triompher de ses adversaires africains. Il aurait laissé derrière lui des amphores remplies de vin dans lesquelles il aurait fait infuser des racines de mandragore. Les Africains, en buvant ce breuvage, auraient été enivrés et désorientés, ce qui aurait facilité la victoire finale d’Hannibal.

En Grèce antique, Hippocrate (460-380 av. J-C) préconisait l’utilisation modérée de la Mandragore sous forme d’alcoolat pour traiter la mélancolie et soulager la tristesse chez les patients en proie à des pensées suicidaires. Il la recommandait non seulement comme antidépresseur, mais aussi comme antispasmodique, sédatif et traitement contre les hémorroïdes.

Hildegarde de Bingen, de son côté, reprenait les méthodes de traitement de la mélancolie déjà explorées par Hippocrate. Dans son ouvrage « Le Livre des Subtilités des Créatures Divines », elle suggérait de faire tremper la Mandragore dans une fontaine pendant une journée et une nuit, puis de la placer dans le lit d’une personne mélancolique tout en récitant une prière.

Une plante magique ?

À l’époque de la chasse aux sorcières, l’utilisation magique de la Mandragore était largement reconnue, et la simple possession de cette plante pouvait suffire à crédibiliser une accusation et conduire son détenteur au bûcher.

Il existe également des légendes entourant Jeanne d’Arc (1412-1431) et son procès pour sorcellerie, qui auraient été étayées par l’utilisation présumée de la Mandragore qu’elle aurait dissimulée sous son armure pour attirer la victoire et ensorceler ses ennemis. Certains racontent même que la Mandragore poussait près de Domrémy, où Jeanne aurait entendu pour la première fois lavoix qui la guida vers son statut d’héroïne de guerre.

La Mandragore a également trouvé sa place dans la culture populaire à travers des séries, des films, et des œuvres littéraires, tels que « Harry Potter, » « Le Labyrinthe de Pan, » « Les Nouvelles Aventures de Sabrina, » la bande dessinée « Aliénor Mandragore » et certains comics.


La Belladone, ou « l’herbe du diable »

La Belladone, aussi connue sous le nom d’herbe du diable, est une plante vivace aux fleurs blanches toutes simples et aux baies noires, poussant généralement en bordure des forêts ou dans les décombres. Ses graines, feuilles, racines et fruits étaient exploités avec soin et respect pour éviter tout risque d’empoisonnement. Ses propriétés, parfois imprévisibles et souvent fatales, sont connues depuis l’Antiquité. Les sorcières du Moyen-Âge auraient appris à maîtriser cette plante pour profiter de ses effets hallucinatoires.

Les propriétés de la Belladone

  • Ses principes actifs, les alcaloïdes tropaniques (atropine, hyoscyamine), peuvent provoquer de la tachycardie, une dilatation des pupilles ou encore un ralentissement des sécrétions.
  • En homéopathie, la belladone est utilisée pour soigner la fièvre, les affections respiratoires et les brûlures. Elle s’utilise aussi en teinture mère.
  • Elle possède également des propriétés analgésiques, sédatives, antiasthmatiques et antispasmodiques. Elle a donc été utilisée comme anticonvulsif, antiulcéreux, pour traiter des troubles de la ménopause, la goutte ou l’hyperuricémie, l’acidité ou encore les règles douloureuses.

La plus redoutable des plantes médicinales de sorcières

Durant l’époque médiévale, la Belladone était considérée comme l’une des plantes les plus redoutables et mystérieuses dans l’arsenal des sorciers et alchimistes. On lui attribuait des pouvoirs magiques extraordinaires, notamment la capacité à induire des visions, à provoquer des rêves prophétiques et à établir des connexions avec des entités surnaturelles. Cette plante occupait une place centrale dans la création de potions magiques ou onguents, souvent combinée à d’autres herbes (Mandragore, Jusquiame, Datura Stramonium, Pavot, Ciguë, Aconit ou Verveine) et substances pour élaborer des élixirs destinés à révéler des vérités cachées, à amplifier les capacités psychiques ou à favoriser la clairvoyance. La Belladone était également réputée comme l’un des ingrédients utilisés lors des sabbats de sorcières, ces rassemblements nocturnes où les adeptes de la magie pratiquaient des rituels ésotériques et rendaient hommage à des divinités païennes.

L’abbesse Hildegarde de Bingen fait mention de la Belladone dans ses écrits, soulignant que les individus devraient éviter de consommer directement la « belle dame » sous peine de subir des troubles mentaux et la mort, bien qu’elle puisse être utilisée pour soulager les maux de dents.

Plantes toxiques et avancées scientifiques

Après la révélation de la Morphine en 1805, extraite du Pavot somnifère par Friedrich Wilhelm Sertürner, la recherche visant à extraire des composés chimiques à partir de plantes s’est intensifiée rapidement. Cela a notamment concerné les plantes toxiques, particulièrement les Solanacées, qui étaient réputées pour leur contenu en substances potentiellement nocives. Le terme « Alcaloïdes » a été adopté pour désigner ces molécules extraites, sur la suggestion de Meissner en 1819. Ces découvertes ont ouvert la voie à des avancées significatives dans les domaines de la chimie organique, de la pharmacologie, de la toxicologie, et ont finalement conduit à la compréhension des structures moléculaires.


La Jusquiame, ou « l’herbe au somme »

La Jusquiame, autrefois surnommée « Herbe au Somme » ou « Belle Endormeuse », est une plante toxique appartenant à la famille des Solanacées. Elle est célèbre pour son utilisation dans la préparation des potions et rituels de sorcières. Les propriétés stupéfiantes, narcotiques et hallucinogènes de cette plante la rendent dangereuse, mais elle est également connue pour ses multiples vertus médicinales :

  • Sédatives : Les sorcières l’utilisaient pour calmer.
  • Analgésiques : Elle était souvent utilisée en application locale pour ses propriétés anti-douleurs.
  • Somnifères : L’effet hypnotique de la jusquiame a été largement exploité dans les potions magiques.

Les dangers de la Jusquiame

La Jusquiame noire est également attribuée d’effets aphrodisiaques, et était parfois utilisée dans les rituels de divination. Attention toutefois, cette plante reste très toxique et son utilisation doit être maîtrisée. Une utilisation incorrecte de cette plante peut provoquer des états de délire et des hallucinations, suivis d’une plongée dans un sommeil profond.  

Mysticisme et ésotérisme

À l’époque médiévale, cette plante était célèbre pour son rôle dans la facilitation de la communication avec des sphères spirituelles et des entités mystiques. Elle était fréquemment utilisée pour préparer des potions et des élixirs destinés à élargir la conscience et à susciter des visions prophétiques. Les alchimistes la considéraient comme une clé pour percer les mystères de l’univers. La jusquiame occupait une place centrale dans les rituels de sorcellerie et de magie noire de l’époque, favorisant l’induction d’états altérés de conscience permettant aux praticiens de se connecter avec des forces surnaturelles. Pour certains, elle symbolisait une plante de transformation capable de provoquer des visions et de révéler des connaissances ésotériques. La jusquiame incarne la complexité des connaissances ésotériques et des pratiques de cette époque, où les frontières entre la science, la magie et les dangers étaient souvent floues.

Une plante ancestrale

Citée dans des textes babyloniens et présente dans la pharmacopée sumérienne aux côtés de plus de 250 autres végétaux, la Jusquiame est une plante dont la mention remonte à plusieurs siècles avant Jésus Christ, inscrite sur des tablettes d’argile. Elle fait également partie du Papyrus Ebers, l’un des plus anciens documents médicaux, datant de 1550 avant J-C et provenant du Ramesséum, le temple de Ramsès II situé dans la nécropole de Thèbes. Ce papyrus renferme des informations sur divers remèdes et traitements pour différentes affections.

Plus tard, la Jusquiame est répertoriée aux côtés de la Mandragore et de la Belladone parmi 230 substances dans le Corpus Hippocraticum, une compilation de plus de soixante livres de textes médicaux attribués à Hippocrate considéré comme le père de la médecine.

Ses effets ont également été documentés par le célèbre Avicenne (930-1037), un éminent médecin et philosophe du monde arabe, réputé pour avoir rédigé l’une des plus grandes encyclopédies médicales de l’époque, « Le Canon de la Médecine », dont l’influence s’est étendue jusqu’à la Renaissance.

Au XIIIème siècle, Albert Le Grand, un frère dominicain passionné par les sciences naturelles, la théologie, la philosophie, et également par la magie, a évoqué son utilisation par les nécromanciens pour invoquer les démons (une pratique qu’il a expressément désapprouvée). De fait, la plante apparaît également dans l’ouvrage « Le Grand Albert », souvent attribué à tort à Albert Le Grand lui-même, un texte mêlant magie et théologie où la Jusquiame est mentionnée dans deux sections distinctes.

Une toxicité génératrice de légendes

La Jusquiame est également liée à certaines légendes de lycanthropie, car elle était capable de provoquer une sensation de transformation en animal, fréquemment associée au loup. Cette légende est également connectée aux comportements et aux transes des guerriers Berserkers, caractérisés par un désir de déchirer leurs vêtements, une brutalité accrue, et d’autres symptômes liés à l’intoxication par la Jusquiame.


L’Armoise, ou la « mère des herbes »

L’Armoise, aussi connue sous le nom d’Artemisia, est une plante chère aux sorcières. Gouvernée par la planète Vénus, elle est associée à la déesse Artémis, protectrice des femmes, de la fertilité et de la sorcellerie. Son utilisation est multiple et variée :

  • Ses propriétés magiques sont liées à la protection, la guérison et la projection astrale, ainsi qu’aux rêves prophétiques.
  • Sur le plan médicinal, l’Armoise est reconnue pour ses vertus stimulantes, toniques, fébrifuges et antispasmodiques. Elle est également appréciée pour ses propriétés diurétiques, emménagogues et abortif à forte dose, et est souvent utilisée pour régulariser le cycle menstruel et soulager les règles douloureuses.
  • En phytothérapie, l’Armoise est utilisée pour soutenir la digestion, stimuler l’appétit et améliorer l’assimilation des aliments. Elle possède également des propriétés antibactériennes, anti-inflammatoires et antiparasitaires.

De plus, l’Armoise est aussi utilisée en externe pour apaiser les douleurs et activer la circulation sanguine. Ce faisant, elle est recommandée contre les varices et les risques de phlébite. Enfin, l’Armoise est également réputée pour ses qualités divinatoires, favorisant la maîtrise des rêves lucides et facilitant la prophétie.

Il vous suffit d’en disposer un peu près de votre oreiller pour que la nuit vous réserve des conseils avisés et des pensées claires. Une autre option est de la faire brûler. La fumée dégagée par l’armoise était réputée pour chasser les énergies néfastes et repousser les esprits malveillants. Les sorcières et les pratiquants de la magie blanche utilisaient couramment des bâtons d’armoise, souvent appelés « balais de sorcière », pour purifier les lieux où ils effectuaient leurs rituels. De plus, l’armoise était considérée comme une puissante protection contre la magie noire et les malédictions. On portait des amulettes imprégnées de cette plante comme des talismans protecteurs, assurant ainsi une défense contre les forces maléfiques.

Les Romains, pour éviter la fatigue, la plaçaient dans leurs sandales, tandis que les paysans du Moyen Âge en confectionnaient des ceintures qu’ils brûlaient lors de la fête de la Saint-Jean pour se débarrasser des maux de dos.

Le saviez vous ?

L’armoise est célèbre non seulement pour son utilisation en médecine populaire, mais aussi en tant que plante comestible. En effet, son incorporation dans l’alimentation facilite la digestion lorsqu’elle est consommée avec modération. De plus, cette plante sert d’insecticide naturel polyvalent, contribuant à éloigner les insectes et autres animaux indésirables.


L’Angélique, ou « l’herbe des anges »

Le terme « Angelica » provient du latin « angelus, » signifiant « ange, » tandis que « archangelica » fait référence à l’archange Gabriel, qui aurait révélé les propriétés bénéfiques de cette plante.  L’Angélique, aussi appelée herbe aux anges, a été largement utilisée dans la sorcellerie pour ses vertus protectrices et apaisantes. Cette plante bisannuelle peut atteindre jusqu’à deux mètres et demi de hauteur et possède de grandes feuilles bipennées ou tripennées. Ses propriétés médicinales sont nombreuses.

Les vertus thérapeutiques de l’Angélique

  • Elle a un effet tonique et stimulant, qui favorisait le courage dans les combats tout en préservant des blessures.
  • Elle était réputée pour augmenter la patience et la persévérance.
  • Elle a des effets bénéfiques sur la digestion, notamment en soulageant les ballonnements et les spasmes gastro-intestinaux.
  • Elle est également utilisée pour ses propriétés anti-inflammatoires et pour fortifier le système immunitaire.

En plus de ses effets carminatifs, l’huile essentielle de cette plante possède des vertus sédatives particulièrement adaptées pour traiter l’anxiété, la fatigue nerveuse, l’insomnie et les troubles du sommeil. Enfin, il convient de noter que l’huile essentielle est également mentionnée pour ses propriétés anticoagulantes.

Précautions particulières

L’utilisation de cette plante peut avoir un effet abortif, ce qui la rend déconseillée pendant la grossesse. Par ailleurs, la présence de furocoumarines, des substances pigmentantes et photosensibilisantes, peut entraîner des réactions cutanées lors d’une exposition au soleil ou aux rayons UV, il convient donc de prendre des précautions en ce sens.

Une plante de protection

L’angélique était réputée pour conjurer les sortilèges, et son parfum envoûtant était redouté par les sorciers. Attachée autour du cou des enfants, elle était censée les protéger des maléfices de toutes sortes, mais elle pouvait également être portée comme une amulette par les adultes.

Racine du « Saint-Esprit »

Les médecins de la Renaissance la surnommaient la « racine du Saint-Esprit » en raison de ses « nombreuses propriétés bénéfiques contre des maladies graves ». Par exemple, Paracelse (1490-1541) a rapporté que lors des grandes épidémies de peste de 1510, de nombreux habitants de Milan ont été sauvés grâce à ses prescriptions, qui incluaient de la poudre d’angélique dissoute dans du vin.

Ressemblance avec la ciguë

L’angélique était parfois confondue avec la ciguë. Pour distinguer l’herbes des anges du redoutable poison, il suffisait de froisser quelques feuilles : la première dégageait un agréable parfum, quand la seconde dégageait une odeur d’urine de souris.

Utilisation de l’Angélique en cuisine

De nos jours, les pétioles et les tiges de l’angélique sont utilisés en pâtisserie et en confiserie sous forme de fruits confits.


Toxicité et mise en garde

Les sorcières étaient à l’époque des femmes pour la plupart guérisseuses, qui possédaient une grande connaissance des plantes. Elles se formaient souvent entre elles, dans des cercles exclusivement féminins et se transmettaient leur savoir lors de réunions ou de sabbats.
Au fil du temps, la science et les connaissances ont évolué, les usages ont changé, et certaines plantes ne sont plus utilisées.
Ce qui est toujours valable de nos jours : leur emploi, à mauvais escient, peut provoquer des effets indésirables voire toxiques. Il réclame une grande prudence et une formation adéquate.

Source : Plantes de Sorcières : Histoire d’hier et d’aujourd’hui, thèse pour le Diplôme d’État de Docteur en pharmacie, Frey Priscila, 2021

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